2003 – La vie quotidienne à Becco en 1803

André ANDRIES, La vie quotidienne à Becco en 1803, 2003

En 2003, à l’occasion des 200 ans de la paroisse Saint-Éloi, celle-ci a organisé une série de conférences ; l’une d’entre elle a été donnée par M. Andries, historien local, qui a ensuite publié le résultat de ses recherches sous la forme de cette plaquette de 28 pages.

M. Andries expose tout d’abord le contexte de l’année 1803 :

  • Becco sort de 15 années de révolution franchimontoise et
  • Becco entre dans les années de réformes napoléoniennes

Cherchant à cerner les habitants, il nous parle ensuite de

  • L’état d’esprit des gens de Becco en cette année-charnière et
  • Des relations des gens de Becco avec les pouvoirs publics

Avant d’expliquer :

  • La configuration du village de Becco
  • Les métiers des gens de Becco
    • Une économie rurale archaïque
    • Les métiers du métal
    • L’élevage et la lainerie
    • Les cultures
    • Le portage et le colportage
    • La boulangerie
      • Et fait un détour pour nous donner une Note sur la répression napoléonienne du syndicalisme
    • La vie courante
      • L’alimentation
      • L’habillement
      • Le chauffage
      • L’éclairage
      • La toilette et l’hygiène
      • La lessive
      • La médecine
      • L’éducation
      • Les communications
      • Les divertissements

Et de citer une abondante bibliographie.

Nous avons du mal, au XXIème siècle, à imaginer les conditions de vie de nos ancêtres. Il faut dire que les preuves écrites relatives aux habitants de Becco ne sont pas nombreuses ! L’historien doit donc travailler par analogie et comparaison, tout en exploitant au maximum les sources géographiques, archéologiques et historiques disponibles.2