Cher René,

Te voici parti rejoindre ta chère Charlette : combien de fois nous as-tu parlé d’elle, qui te manquait tellement, et dont le départ te laissait si désemparé ?

Tes histoires à n’en plus finir, tes souvenirs de jeunesse, tes récits de travail à l’usine et dans les bois, ton grand rire qui nous mettait tous en joie… Ta fierté d’assurer la permanence au bureau du SI, ta fidélité à rendre ce service, c’est sûr, tu vas sérieusement nous manquer !

Mais nous savons que tu es, à ton tour, parti pour le pays du vrai bonheur : alors, bon vent, cher René, sois heureux à 1000%, auprès de ceux qui t’attendaient.

Et veille sur nous, et notamment sur Eric, qui a pris soin de toi avec tant d’attention et de gentillesse.

Anne-Elisabeth